• Récemment , les députes britanniques ont adopté l'interdiction de l'importation des trophées de chasse. Cette pratique consiste  à payer jusqu'à plusieurs milliers de dollars afin de tuer lions ou éléphants et de repartir avec une partie de l'animal (corne, peau, tête..) en guise de trophée. Si certains affirment que ce sport de luxe financent la sauvegarde des espèces,  d'autres crient à la cruauté. Pour le WWF, le nombre d'animaux à l'êtat sauvage en Afrique aurait chuté de plus de 65 % en un peu plus de 50 ans; Elle avance cependant que , bien géré, la chasse peut s'avèrer comme étant  un efficace outil de préservation. Et toi, qu'en penses tu ?

     

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  • Prés de Saint-Etienne, un loup a été mortellement percuté par une voiture, dix mois après un précédent accident du même genre. D'aprés la préfecture de Loire,  nulle prédation sur troupeau domestique n'aurait été signalé dans un large champ sur une période de plusieurs semaines. Chaque année, un ou plusieurs de ces animaux décèdent sur la route, en raison des collisions. Le premier cas d'attaque sur animal domestique dans la Loire remonte à février 2018. C'est également le premier indice de la présence de l'animal dans les alentours. Depuis, grand nombreux d'éleveurs ovins ou caprins ont acquis un chien patou vivant en permanence avec le troupeau, afin de dissuader le loup d'attaquer. Le loup gris est toujours  présent dans le pays avec une population estimée à 921 pour l'hiver 2021-2022. Ils occupent principalement les massifs alpins et provencaux

     


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  • Suite à la réintroduction de l'ours dans les Pyrénées , au coeur des années 1990, les éleveurs de brebis  se plaignent de prédations. L'Office francais de la biodiversité a ainsi dénombre 331 attaques en 2022, contre 333 l'an passé. Comme l'ours est une espèce protégée, des arrêtés préfectoraux venant légaliser l'effarouchement ont été cassés par la justice. Les textes autorisaient à titre d'expérience, des dérogations pour "l'effarouchement simple  l'aide de moyens sonores, olfactifs et lumineux mais aussi l'effarouchement renforcé à l'aide de tirs non létaux " (balles en caoutchouc). En 2022, il y avait  76 ours dans les Pyrénées, un chiffre en hausse vis à vis de 2021 (74). En 2020, trois spécimens ont été tués. Le dernier lâcher a eu lieu en 2018.

     

     


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